|
Écrit par Catherine Lara
|
Dimanche, 14 Décembre 2008 11:35 |
Créé en 1863 par Pedro Carbo Noboa, il fut initialement connu sous le nom de "Musée Industriel". En 1908, il acquiert son nom actuel, en s'associant à la Bibliothèque Municipale de Guayaquil et en incluant des pièces d'art à ses collections d'origine. La section archéologique fut incorporée en 1971, alors que le Musée se déplaça vers ses installations actuelles (rues Pedro Carbo et Chile). Sous l'administration de Paco Cuesta (années 90), un totem manteño-huancavilca (1 500 ap. J.-C.) fut placé à l'entrée, ainsi qu'une tombe en puits manteña, en guise de reconstitution des rites funéraires de cette culture.
De fait, le premier étage du Musée est consacré à la partie archéologique, illustrant ainsi les origines de Guayaquil. Au deuxième étage, l'on peut apprécier les salles d'art sacré, d'art contemporain, ainsi que les secteurs consacrés à la numismatique et aux expositions temporaires. Par ailleurs, la réserve du musée compte 12 000 pièces, parmi lesquelles figurent des collections d'archéologie et anthropologie.
L'administration actuelle du musée cherche à le transformer en une vitrine dynamique de l'histoire du pays. Entre autres initiatives, il organise ainsi cycliquement des programmes d'expositions itinérantes présentées dans diverses institutions éducatives ou encore, des établissements publics et privés.
Lire l'article complet dans El Universo Lire l'article complet dans La Revista Lire l'article complet dans El Comercio En savoir plus dans El Universo
|
Mise à jour le Mardi, 16 Décembre 2008 18:08 |
|
Écrit par Gaëtan Juillard
|
Samedi, 04 Octobre 2008 12:24 |
Le quotidien El Comercio a publié aujourd'hui un article présentant le musée amazonien de l'Université Salésienne. Un parcours des peuples passés et présents de l'Amazonie ainsi que de sa flore et sa faune. Lire l'article complet dans El Comercio
|
Mise à jour le Dimanche, 05 Octobre 2008 11:46 |
Écrit par Gaëtan Juillard
|
Mercredi, 23 Juillet 2008 15:35 |
Une salle avec 120 pièces seulement depuis le début de Valdivia (4 000 - 1 500 a.J.C.) jusqu'à la culture Machalilla (1 500 - 800 a.J.C.), révèle l'intention du musée Presley Norton d'éviter de longs parcours propices aux explications à la fois épuisantes et confuses. Tous ces artéfacts appartinrent à l'archéologue Presley Norton qui accumula une collection de 8 000 items dans les années soixante-dix, quatre-vingts et quatre-vingt-dix, désormais pris en charge par la Banque Centrale de l'Équateur (BCE).
L'exposition "Vie et moeurs des habitants de l'Équateur ancien" a été organisée à partir de cet ensemble de vestiges archéologiques et d'une étude réalisée par le nord-américain Donald Lathrap et complétée par le britannique Richard Lunniss.
Lire l'article complet dans El Comercio.
|
Mise à jour le Mercredi, 23 Juillet 2008 15:35 |
Écrit par Gaëtan Juillard
|
Mardi, 22 Juillet 2008 13:38 |
L'exposition sera inaugurée ce jeudi au Centre Culturel de la Banque Centrale de l'Équateur. L'exposition "Équateur, marques de son passé précolombien" sera inaugurée le jeudi à 19:00 au Centre Culturel de la Banque Centrale de l'Équateur (Bolívar 427 entre Piedrahita et Manuela Cañizaraes). L'exhibition traite des réussites technologiques et culturelles obtenues par les sociétés originaires d'Équateur, qui ont laissé des traces profondes dans le développement historique des anciennes sociétés qui habitèrent ce qui est aujourd'hui le territoire national et qui ont en outre influencé toute l'aire andine ainsi que plusieurs endroits du continent américain, transformant ainsi l'Équateur ancien en un véritable phare de civilisation. L'exposition souligne des aspects peu connus du public, comme le fait que les habitants équatoriens aient été parmi les premiers à travailler la céramique; ils développèrent la tradition d'élaborer des figurines humaines, entreprirent la construction de centres cérémoniels, inventèrent l'usage du moule pour élaborer des figurines et furent les premiers au monde à allier l'or et le platine. L'exposition, qui se tiendra ouverte jusqu'au dimanche 5 octobre, compte autour de 110 pièces archéologiques -élaborées en céramique, or, platine, argent, cuivre, coquillage, émeraude, lapis-lazuli, turquoise, cristal de roche et obsidienne- des collections des Musées de la Banque Centrale de l'Équateur. Source: Hoy
|
Écrit par Catherine Lara
|
Lundi, 10 Mars 2008 19:34 |
Le site archéologique de La Florida (Quito) est en cours d'étude depuis 2001 par le FONSAL (Fonds de Sauvegarde du Patrimoine Architectural, ndt), et le quotidien Hoy a annoncé qu'il comptera bientôt sur son propre musée de site.
D'après les premiers résultats des recherches, le site, dont l'occupation débuta il y a environ 1600 ans, correspondrait à un cimetière préhispanique de l'élite quitu.
Les promoteurs du projet archéologique du site ont signalé que les sept tombes en puits trouvées feront partie du parcours muséographique, qui veillera à offrir au public une explication la plus détaillée possible au sujet des matériaux archéologiques découverts et à leur signification.
Leer el artículo completo en el Hoy
|
Mise à jour le Vendredi, 30 Mai 2008 00:04 |
Écrit par Francisco Valdez; Catherine Lara
|
Lundi, 03 Mars 2008 09:16 |
Dans une interview du quotidien Hoy, le collectioniste Iván Cruz, directeur du projet "Casa del Alabado", a présenté quelques-unes des caractéristiques de son futur musée, dont les 22 salles occuperont les 1500 mètres carrés de la maison éponyme. L'ouverture du nouveau musée est prévue pour octobre 2008. Il s'agira de la nouveauté muséographique du centre historique de Quito, située entre San Francisco et Santa Clara.
Cruz souligne que ce projet muséographique propose d'aller au-delà des expositions traditionnelles, tout en proposant une modalité dynamique des parcours, construits sur des expositions temporaires. L'autre nouveauté proposée par Cruz se trouve dans les thèmes des expositions, qui se centreront essentiellement sur le domaine du mythique et du spirituel. Ainsi Cruz affirme que l'on y prétend "raconter aux gens des histoires dynamiques dans un espace vivant, c'est pour cette raison que les expositions seront temporaires. Les collections seront pensées en fonction des besoins du public, qu'elles attraperont dès son entrée... Un aspect important sera celui de montrer la vie spirituelle des peuples anciens, l'on veut que le public connaisse son univers mythique ancestral afin d'arriver à une compréhension de la fonction de l'homme contemporain au sein de l'univers".
En dernier lieu, le côté scientifique du tout sera assuré par les auteurs du script, les archéologues Karen Stothert et Clemencia Plazas.
Lire l'article complet dans Hoy En savoir plus dans Siete Días
|
Mise à jour le Dimanche, 01 Février 2009 09:40 |
|
|
<< Début < Précédent 1 2 3 4 Suivant > Fin >>
|
Page 4 sur 4 |